Écriture Paris

Gabrielle Q., 10 ans : une jolie écriture, mais une douleur à la main


Gabrielle n'est pas venue me voir pour une dysgraphie : elle a une jolie écriture, qu'elle a au contraire peur de perdre si elle change de position pour écrire. Seulement, il y a la douleur : dès qu'elle écrit, elle a mal entre le pouce et l'index, et cette douleur la gêne bien sûr terriblement.


En quatre séances, espacées entre mars et mai 2014, Gabrielle arrive à changer de position conformément à mes conseils et son écriture devient indolore !

Bravo !

Gabrielle, qui est passionnée de dessin, utilise aussi sa nouvelle tenue de crayon dans certains cas pour dessiner.

 

 

Matisse, 7 ans : une écriture trop crispée


Matisse est venu me voir à la fin de son CP, en juillet 2013, car il n'aimait pas son écriture. Pour un bon élève comme lui, c'était frustrant de ne pas écrire assez bien.

Nous avons fait 6 séances, dont la dernière a eu lieu le 15 janvier 2014. Matisse est maintenant beaucoup plus à l'aise dans son écriture et surtout, il continue à progresser. Bravo !


Voici la vidéo de Matisse à la première séance (3 juillet 2013) :

... et voici une vidéo de Matisse à la dernière séance du 15 janvier 2014, écrivant la même phrase.

 

Aurélien, 15 ans : changement de position de main d'un gaucher


Aurélien est venu me voir en avril 2013. Gaucher, il tient son crayon à l'envers et sa nervosité lui crée un problème de sudation de la main qui le gène beaucoup — les feuilles sont moites, le crayon glisse entre ses doigts. Un bilan psychomoteur a écarté toute suspicion de dyspraxie.

Après 6 séances, et un travail assez régulier avec une interruption en été, Aurélien, ses parents et ses professeurs sont maintenant satisfaits de son écriture. Sa position de main est maintenant corrigée, il n'a pas perdu en rapidité. Nous nous voyons une septième et dernière fois le 18 décembre 2013 pour faire le point et repérer les points qui sont encore à améliorer.


 

Aymé, 7 ans, CP - CE1 : une relatéralisation réussie

Aymé est venu me voir en fin de CP. Son écriture était très malhabile et le CP avait été très difficile à cause de ce problème.

En Petite Section, Aymé utilisait indifféremment l'une ou l'autre main pour dessiner. Soucieux de remplir les livrets par compétences, qui demandent de renseigner la main dominante de l'enfant, l'enseignant lui a demandé de "choisir" une main. Aymé a choisi la main gauche... et depuis, il a été catalogué gaucher. On lui donne donc systématiquement les crayons à gauche et on le fait écrire de la main gauche au CP.

Le 3 juillet 2013, à la fin de son CP donc, je lui fais passer des tests qui indiquent qu'en fait, il est droitier. Une relatéralisation est donc nécessaire, en sachant qu'Aymé a été éduqué à gauche de la Petite Section au CP compris...

Malgré son inquiétude, sa mère me fait confiance et nous démarrons une rééducation immédiatement. Nous nous voyons 4 fois dans le courant de l'été, les exercices sont faits très sérieusement et la rentrée d'Aymé se passe bien : une simple lettre suffit à informer l'enseignante de CE1 du changement de main. Nous nous revoyons une fois fin septembre, puis une dernière fois le 30 novembre, soit un total de 6 séances. Aymé peut être fier de lui : il écrit maintenant tout à fait correctement de la main droite, et à la vitesse moyenne d'un enfant de son âge !


 

Une page de fin de CP, écrite de la main gauche.

 


Aymé avant

 


 

Une dictée de CE1, en novembre 2013, écrite de la main droite.

Aymé après 30.11.13

 

 

 

 

Gaspard, 10 ans, CM2 : une écriture trop lente

Gaspard souffrait de ce qu'on appelle la "dysgraphie des lents et précis" : il avait une jolie écriture, qu'il aimait beaucoup, mais était totalement incapable d'accélérer son mouvement. Chaque jour, il devait recopier ses leçons sur le cahier d'un camarade, utiliser le temps de récréation pour finir de noter ses cours ou demander à l'enseignante de faire une photocopie pour lui... il perdait confiance en lui et était très anxieux.

Après 6 séances, Gaspard a réussi à accélérer son écriture de manière très significative. Il rayonne car il n'est plus jamais le dernier en classe !



 

 

 

 

 

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